L’âne s’arrêta près de l’oasis, épuisé
C'est marrant comme une vision, une image, un truc tout bête peut nous renvoyer à des préoccupations bien concrètes. L'oasis, l'âne... ça fait rêver, mais derrière, y'a la question de l'eau, de son importance, de comment on la gère. Et c'est vrai que, même sans être au milieu de nul part, l'eau, c'est la vie, et un jardin sans eau, c'est vite la déprime. Moi, ça me fait penser à l'installation d'un système de récupération d'eau de pluie que j'avais fait y'a quelques années. Au début, c'était surtout pour arroser le jardin sans trop taper dans la facture d'eau. Mais finalement, c'est devenu plus que ça. C'est devenu une manière de me sentir plus connecté à l'environnement, plus responsable. Bon, après, faut pas se leurrer, ça demande un peu d'entretien, faut nettoyer les filtres, s'assurer que tout fonctionne bien, surtout après les grosses pluies. Et puis, faut avoir la place pour installer la cuve, c'est pas toujours évident. Mais le bénéfice, il est là, à la fois pour le porte-monnaie et pour la conscience. En parlant de voyage, dernièrement je me demandais si des fois, on ne devrait pas plus se soucier de l'impact environnemental des infrastructures touristiques. Tiens, en cherchant des infos sur mon prochain séjour, je suis tombé sur une page Hôtels près d’un aéroport. Et ça m'a fait tilter. On est tous contents de pouvoir prendre l'avion et d'arriver rapidement à destination, mais on pense rarement à tout ce qu'il y a autour : la consommation d'énergie, la pollution sonore, l'artificialisation des sols... C'est un peu comme l'âne et l'oasis, une belle image qui cache une réalité plus complexe. Du coup, ça me fait réfléchir à comment on peut concilier notre envie de voyager et notre besoin de préserver la planète. Est-ce qu'il faudrait privilégier des destinations plus proches, des modes de transport plus doux ? Est-ce qu'on peut encourager les hébergements éco-responsables ? C'est pas facile, mais je pense que c'est une question qu'on devrait tous se poser avant de partir en vacances.
C'est tout à fait ça. On a tendance à idéaliser les voyages, à voir la carte postale, mais l'envers du décor est parfois moins reluisant. J'ai un ami qui travaille dans le tourisme durable, et il me racontait que certaines régions, très prisées des touristes, sont en train de littéralement mourir de soif, parce que les hôtels et les piscines absorbent toutes les ressources en eau. Ça donne à réfléchir avant de réserver son prochain séjour all inclusive...
Quand tu dis que les aiguilles de pin acidifient la terre, c'est bon à savoir ça ! 👍 J'avais pas fait le rapprochement, mais c'est vrai que mes fraises ont l'air de bien se plaire avec ce que je mets autour. 🤔 Du coup, nickel pour savoir quoi mettre au pied des framboisiers que je vais bientôt planter. Merci pour l'astuce. 😃
C'est pas faux, mais il faut relativiser l'impact des aiguilles de pin. L'acidification, elle est quand même assez lente et progressive, faut vraiment en mettre des couches pendant des années pour que ça change significativement le pH du sol. Pour les framboisiers, oui, ça peut être bien, mais faut pas non plus flipper si on en a pas sous la main. Un bon compost, ça fait aussi très bien l'affaire.
J'ai croisé un âne près d'une oasis, là où je suis en vacances. J'ai pensé à la maison, et j'ai remarqué à quel point un point d'eau peut faire toute la différence, que ce soit dans le désert ou dans son propre jardin. Vous en pensez quoi ?
Dubois41 - le 12 Septembre 2025